Forgées entre ombre et lumière, les Sœurs de la Nuit unissent le feu de l’émail et la beauté du mystère en des reliques modernes où chaque bijou devient une âme de métal traversée de lumière.
Les Sœurs de la Nuit – Les Grands Clous Sacrés
Forgées dans l’acier et l’ombre, ces boucles d’oreilles incarnent la majesté silencieuse des Sœurs de la Nuit.
Émaillées à la main en transparence colorée, chaque paire est un talisman unique, un fragment d’âme figé dans la lumière.
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Lucerna Mortis – Argentée et bistre, effleurée d’orange, elle porte des crânes entourés de fleurs mortuaires, symboles de beauté au seuil de l’éternité.
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Noctilith – Violette, pourpre et noire, ornée de crânes et d’arabesques gothiques, elle murmure la révolte et la grâce des ombres.
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Calvéraëlle – Rouge ardente, aux reflets noirs et orangés, marquée d’ailes sombres et de symboles ésotériques, elle incarne la passion et le pouvoir mystique.
Présentées dans leur écrin personnalisé et accompagnées de leur carte d’identification numérotée, ces créations ne sont pas de simples bijoux : ce sont des reliques gothiques, forgées entre le feu, la lumière et la mémoire des légendes.
DIMENSIONS
Diamètre : 2 cm
Longueur de la tige : 1,2 cm
Poids de chaque pièce : 4 grammes
Qui sont Les Sœurs de la Nuit ?
Les Sœurs de la Nuit – Légende des Âmes Perdues
Il est dit que, lorsque les cathédrales sombrèrent dans l’oubli et que leurs vitraux éclatèrent sous le poids des siècles, trois esprits se levèrent dans l’ombre : Lucerna Mortis, Calvéraëlle et Noctilith.
Lucerna Mortis, la première, naquit de la lumière mourante. Son crâne argenté brille au milieu de vitraux gris et bistre, guidant les âmes errantes à travers le silence des nefs désertes. Elle est la lanterne des morts, celle qui éclaire les secrets que les vivants craignent de voir.
Calvéraëlle, gardienne des vitraux écarlates, incarne la mémoire des sangs versés et des histoires oubliées. Son rouge profond et son noir nocturne sont les couleurs de la passion et du sacrifice, un écho des prières que l’on n’ose plus murmurer.
Noctilith, née de la rébellion et des ténèbres, porte les éclats pourpres et violets de la nuit. Elle danse dans les ruines des cathédrales brisées, veillant sur les âmes libres et insoumises, celles qui refusent de se plier au destin imposé. Chaque fragment de vitrail qu’elle touche s’embrase d’une lumière mystérieuse, fragile et fugace.
On raconte que les trois sœurs errent encore, liées par un pacte silencieux. Elles ne vivent pas parmi les hommes, mais elles se reflètent dans les bijoux émaillés que l’on porte autour du cou. Chaque éclat de verre transparent, chaque reflet de métal argenté, est un fragment de leur légende, un souffle de mystère que l’on peut sentir contre sa peau.
Les Sœurs de la Nuit ne cherchent pas à être vues. Elles existent dans l’ombre, dans la lumière filtrée par les vitraux brisés, dans le silence où les secrets et les âmes se rencontrent. Porter leurs talismans, c’est accueillir cette dualité : la lumière dans la mort, la beauté dans la fragilité, la mémoire dans l’oubli.