Collier "Ino" — Élégance mystique au cœur de l’époque victorienne
Ajoutez une touche d’élégance intemporelle à votre garde-robe avec notre collier Ino, pièce unique entièrement conçue à la main.
Inspiré du raffinement de l’ère victorienne, Ino marie à la perfection ornements délicats, pierres étincelantes et chaîne byzantine en laiton bronze. En son centre, un médaillon ciselé aux motifs gracieux révèle une danseuse en lithographie, dansant sur un fond de rose rouge émaillé au fini cristallin, profond et envoûtant.
Les pierres rouges qui l’ornent capturent la lumière, tandis que les embouts ciselés et émaillés rouge scintillant, ainsi que la fermeture « T » à rose émaillée, apportent la touche finale à ce bijou d’exception. Deux chaînettes prolongent la création, ornées d’un mini médaillon « fait main » et de perles d’obsidienne véritable, rouges et noires.
Chaque collier Ino est livré dans son écrin personnalisé, accompagné de sa carte d'identification numérotée et de sa carte de lithothérapie.
Ino, c’est plus qu’un collier — c’est une invocation de beauté, de mystère et de puissance féminine.
Matériaux :
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Chaîne mailles byzantines en laiton
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Médaillon victorien en laiton
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Lithographie exclusive des Fantaisies d’A
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Fermeture fantaisie en « T »
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Chaînettes d’ornement en laiton
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Perles en résine rouge filigranées bronze (diamètre 0,6 cm)
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Perle d’Obsidienne noire habillée de laiton (diamètre 1 cm)
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Apprêts en laiton
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Émail à froid
Dimensions
Longueur totale de la chaîne longueur 50 cm attache comprise
Dimensions du pendentif : 5 cm de largeur sur 8 cm de hauteur (bélière comprise)
Poids du bijou : 40 grammes
Qui est Ino ?
Ino, la Mère des Vagues
Née reine parmi les mortels, Ino porta les lourdes couronnes du destin. Épouse du roi, sœur de Sémélé, nourrice de Dionysos, elle affronta la fureur d’Héra, les tourments de la folie et la perte de ses enfants. Jetée dans les flots, cœur brisé, elle aurait dû sombrer… Mais les dieux avaient d’autres desseins.
Les eaux l’engloutirent, mais ne l’avalèrent pas. Car de la douleur naquit la grâce : Ino devint Leucothée, déesse blanche de la mer, immortelle salvatrice des naufragés. Là où les tempêtes hurlent et les navires se brisent, elle apparaît — bras ouverts, voile lumineux, espoir des marins perdus.
Même Ulysse, brisé par la colère de Poséidon, fut sauvé par son souffle. Car Ino, née du tumulte et de la peine, est devenue le calme après la fureur — la miséricorde au cœur de l’abîme.